« Il s’agit de fils et de portes ! Non pas de fils et de pertes, élève Jaaacques : décollez votre nez de la fenêtre, il gèle à pierre fendre, sinon ce tarin finira soudé, serin taré ! Ni de rets et de trames — vous me la copierez celle-là, Dupond et Dupont ! Et ne riez pas derrière vos moustaches, droite et tordue, cent fois ! Macheprot en retenue, le “drame du pet” ! Sot ! Mexicain ! De passages — celle-là je la fais moi-même — gratuits, entre les mondes sur les fils qui les font. De nouveaux saute-ruisseaux ? Non pas. Bien plutôt des petits bateaux savamment pliés lâchés sur les eaux et leurs destins si divers. Métaphore s’entend ! Métaphoriquement, s’entend.
J’y fais une place aussi importante aux clés qu’aux portes, aux sésames qui ouvrent les mondes et nos cavernes à nous.
Il y en a un bon nombre, de là les mille-et-un jours, vingt-et-une histoires sont prêtes, 310000 signes ; au vu des critères de réalisation, cette première palanquée devrait suffire.
[…]
Continuons la démarche à l’américaine : la séquence me fait toujours rire de voir Charlot arpenter le désert du monde vers son destin final, face au soleil couchant, de pauvre garçon solitaire. En chapeau melon ! Personne n’a jamais pensé que c’était là une de ses critiques les plus intenses de son Amérique : il ne quitte pas les lieux avec un Stetson, diantre, il y entre avec son chapeau rond de petit grand-breton…
Soit, il manque les vaches, mais laissons ces paisibles ruminants et ne les affublons pas de nos folies, la leur les met assez en péril. Soit, les puits font défaut, mais on saura se débrouiller sans érections et jaillissements noirâtres…Où en étais-je ? Oui, la démarche à l’américaine ! Est-ce une variante palmipède du pas de l’oie, cette manière de déambuler en canard ? Gabriel, tu t’égares ! Il faut te ressaisir et faire le camelot de ton calme lot au Camaalot de ces dames. Propose ton blot au lieu de tisser du mot, là personne n’y entrave plus que pouic. OK ? Fait la montre de l’article ! L’article ! »
J’y fais une place aussi importante aux clés qu’aux portes, aux sésames qui ouvrent les mondes et nos cavernes à nous.
Il y en a un bon nombre, de là les mille-et-un jours, vingt-et-une histoires sont prêtes, 310000 signes ; au vu des critères de réalisation, cette première palanquée devrait suffire.
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Continuons la démarche à l’américaine : la séquence me fait toujours rire de voir Charlot arpenter le désert du monde vers son destin final, face au soleil couchant, de pauvre garçon solitaire. En chapeau melon ! Personne n’a jamais pensé que c’était là une de ses critiques les plus intenses de son Amérique : il ne quitte pas les lieux avec un Stetson, diantre, il y entre avec son chapeau rond de petit grand-breton…
Soit, il manque les vaches, mais laissons ces paisibles ruminants et ne les affublons pas de nos folies, la leur les met assez en péril. Soit, les puits font défaut, mais on saura se débrouiller sans érections et jaillissements noirâtres…Où en étais-je ? Oui, la démarche à l’américaine ! Est-ce une variante palmipède du pas de l’oie, cette manière de déambuler en canard ? Gabriel, tu t’égares ! Il faut te ressaisir et faire le camelot de ton calme lot au Camaalot de ces dames. Propose ton blot au lieu de tisser du mot, là personne n’y entrave plus que pouic. OK ? Fait la montre de l’article ! L’article ! »
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