mardi 20 décembre 2016

MÉCOMPTES DE NOËL


MECOMPTES DE NOEL (Éditions de L’Ours Blanc)

Est enfin paru et clairement au bon moment ! 

Vous voulez faire un cadeau de Noel ? Foncez dans votre épicerie littéraire favorite, de celles qui sont tenues par de vrais gens, des pros, et demandez « Mécomptes de Noel ». Ou adressez-vous directement à l’éditeur : L’Ours Blanc (non ce n’est pas une blague !) est sur les dents !

Recueil à mettre entre toutes les mains ? J’en doute un peu, mais vous voilà prévenus !

« Pourquoi est-il si difficile, en France, d’éditer des nouvelles ? […] un recueil, même thématique, même dûment composé, semble frappé de malédiction. Et cela, dans le pays de Maupassant. Qu’en penseraient Bradbury, Calvino ou Borges ? […] un éditeur courageux tente ici l’expérience, à laquelle on ne peut que souhaiter le succès.
Le recueil proposé a beaucoup évolué depuis sa conception. Au départ, ces variations sur le thème du Père Noël, par moments nostalgiques de l’enfance, se présentaient aussi ou d’abord comme un acte de résistance par la dérision, contre l’envahissement de la société de consommation, les niaiseries qu’elle impose, la marchandisation et la mondialisation d’une fête qui y perd son sens. Pour des raisons diverses, le recueil a été raccourci, et les textes les plus virulents, peut-être un peu superficiels, ont disparu au profit des variations plus complexes, plus profondes, plus tristes parfois ou plus tendres. » 


(Extrait de la préface écrite par Claire Decortiat)


« Dans le verglas du firmament d’un univers affligé de météorites toxiques où la banalité technologique domine le cerveau de l’humanité, les traumatisés du farfadet rouge, après avoir interdit de visite le Père Fouettard avec ses gants blancs, sa crosse de curé et sa cape de vampire, prétendent à présent que l’on “perd-Noel” avec ce vieux lutin ventripotent et son manteau rouge qui n’est qu’une ordure cocaïfiée jusqu’à la dernière goutte de gaz.
Le vieux bonhomme joufflu va-t-il être rayé à son tour du calendrier des fiestas de fin d’année au nom de la “laïcardité” désenchanteresse ?
C’était sans compter sur l’écriture magique de Kopp. Seul survivant de son espèce, papy-céleste résiste à la banalité du monde grâce à la plume de son créateur. Le vieux Golem à la barbe blanche emmitouflé dans son paletot rouge continue sa livraison galactique saupoudrée de nids de poules et de champs gravitationnels, avec sa grande hotte sur son vieux dos de migrant cosmique, bourrée de joujoux recyclés pour les petits terriens, n’en déplaise aux destructeurs du folklore lié au solstice hivernal. »


(Extrait de l’Introduction écrite par Pierre Meige)




Amusez-vous bien et Joyeux Noel à tous !

Florilège Sculpture et Poésie



La collaboration annoncée au Florilège Sculpture et Poésie (2010-2015) de l’exposition Souffle d’Art a trouvé son public. Le livre marche très fort, le comité d’édition est content et son président extatique. Quant à votre serviteur, 22 de ses textes y figurant, qu’ajouter de plus, à part adressez-vous à l’ACSAS pour en avoir un exemplaire ?


Plusieurs nouvelles et poésies publiées en périodiques et anthologies : Chemins de Traverse, Flammes Vives, Rose des Temps… et la prestigieuse revue belge TRAVERSÉES qui m’accueille dorénavant dans ses colonnes.

… Et des vers parus jusque dans des gazettes d’entreprises : comme quoi il appartient aussi au poète de chercher activement ses auditeurs et lecteurs !












J'allais oublier...

Une consécration !
Les superlatifs me manquent ! Je viens d’être couronné par l’immense Prix Jean Aubert pour un recueil de poésie qui paraîtra par conséquent au prochain trimestre…

C’est une revanche contre le destin autant qu’un triomphe personnel : Jean Aubert, un écrivain comme il y en eut peu, voulait préfacer mon Lorraines que vous connaissez depuis le temps. Mais, la camarde qui commande sur tout, l’enleva de parmi nous avant qu’il termine son papier. Depuis, poète en peine, Diogène au petit pied, je le cherche, lanterne à la main, de nuits en nuits, de deuils en chagrins, de rimes en hémistiches… Et obtenir cette récompense est pour moi une façon de le retrouver.
                                              
« L’heure du dragon »

lui aurait plu, j’ose le penser…
Aussi est-ce à lui que je le dédierai.

Je n’allais pas oublier, évidemment !