dimanche 10 mars 2013

Victor Hugo


Ayant vu le massacre  immense, le combat
Le peuple sur sa croix, Paris sur son grabat,
La pitié formidable était dans tes paroles.
Tu faisais ce que font les grandes âmes folles
Et, lasse de lutter, de rêver, de souffrir,
Tu disais : « j'ai tué ! », car tu voulais mourir.
Tu mentais contre toi, terrible et surhumaine
[…]

Aucun commentaire: