Que je me sente parfois plein de banderilles, et
qu’elles m’anesthésient ou me rendent exsangue est une délicate évidence pour
les amateurs de danse avec la grande Germaine, euh… avec la race humaine — non,
mauvais pour la rime ! — bovine (meuh, je laisse les loups au bal de Kevin
et à une nouvelle primée de l’an dernier parue chez le microéditeur La Truite
de Quénacan). Comme quoi, mes animaux sont de tous bords, moi qui aime les
oiseaux et les requins, les vrais (eux qui ne sont ni menteurs ni assassins).
Vous, gracieux lecteurs, nanas ou mecs, échappez
(du fait que vous me lisez, oui oui, je suis fayot) à notre destin de
steak ! La couleur du soleil ? Émeraude, glauque, sinople, olive,
dans pas longtemps, car rien ne les arrêtera ! (pas même le beau Charlton,
Heston pour l’audimat).
Holà, quoi, le voilà va-t’en guerre salvateur, de
croisade promoteur, troquant sa plume pour des enclumes ? Sans chercher
une épée ! En-tout-cas, l’épée ce n’est pas moi, benêt plutôt, tripotant son bonnet, me
vois à vous narrer, que j’annonce ce jourd’hui épopées fractionnées !
Je reste dans le ton !
Toujours dans le ton ! Oh, du thon, on n’en
a plus guère non plus. Saviez-vous que neuf dixièmes des poissons de
l’Atlantique nord ont disparu, et belle proportion à nourrir l’élevage ?
Mangez, mangez, mes bons amis et soyez sages.
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