Quel étonnant spectacle, une femme qui s’habille. L’objet du désir se voile et permet de relancer le désir du dévoilement. Je me plais à souhaiter que ce temps dure et dure encore pour saisir le moment quand l’envie me revient. J’en raffole.
Quel prodigieux spectacle, cette femme qui s’habille !
D’autant qu’il donne l’espoir qu’elle va enfin s’en aller.
Méditations Incongrues, extraits du volume V : Le coup de pied de l'âne
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