mardi 25 novembre 2008

Méditation N°104



C’est d’abord un geste. Prendre une plume, la poser sur le papier et ensuite osciller dans le couloir du train en marche. Peu souvent nous marchons droit, plus souvent des incidents nous font toucher les parois. A ces endroits s’écrivent les contusions des rêves. Alors cela devient une geste.

Méditations Incongrues, extrait du vol. IV :Le fil et le nœud

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