C'est ce qu'on appelle un écrivain prolifique. Quelques mois à peine après son premier recueil de poésie, Caraïbes, traduisant brillamment en vers les émotions nées de ses voyages en Guadeloupe (DNA du 26 janvier), l'écrivain haguenovien Gabriel Eugène Kopp publie ces jours-ci aux éditions Griffe d'encre La dernière nécropole, son deuxième ouvrage de science-fiction.
Et l'auteur est à l'aise dans tous les registres : son nouveau livre n'a rien à envier au déjà brillant Au nord-nord-ouest d'Eden paru il y a deux ans (DNA du 15 mai 2008) et chaleureusement accueilli, notamment par le spécialiste du genre Jean-Pierre Dionnet.
La dernière nécropole part de la découverte, dans la ceinture de Kuiper, d'un « artefact en forme de tore », renfermant des milliers - millions ? - de corps gisant nus et calmes dans une lumière bleue, bercés par une musique aux accents inconnus. Morts.
S'en suit un récit passionnant au style remarquable, digne des meilleurs auteurs anglo-saxons. Court et bien rythmé, l'ouvrage s'interroge sur l'être et la divinité, sans jamais se départir d'un brin d'humour sarcastique : « Les scientifiques ont mauvaise mine. C'est peut-être qu'ils ne se posent pas les bonnes questions... »
Gabriel Eugène Kopp dédicacera La dernière nécropole ce samedi à la librairie Vincenti.
Et l'auteur est à l'aise dans tous les registres : son nouveau livre n'a rien à envier au déjà brillant Au nord-nord-ouest d'Eden paru il y a deux ans (DNA du 15 mai 2008) et chaleureusement accueilli, notamment par le spécialiste du genre Jean-Pierre Dionnet.
La dernière nécropole part de la découverte, dans la ceinture de Kuiper, d'un « artefact en forme de tore », renfermant des milliers - millions ? - de corps gisant nus et calmes dans une lumière bleue, bercés par une musique aux accents inconnus. Morts.
S'en suit un récit passionnant au style remarquable, digne des meilleurs auteurs anglo-saxons. Court et bien rythmé, l'ouvrage s'interroge sur l'être et la divinité, sans jamais se départir d'un brin d'humour sarcastique : « Les scientifiques ont mauvaise mine. C'est peut-être qu'ils ne se posent pas les bonnes questions... »
Gabriel Eugène Kopp dédicacera La dernière nécropole ce samedi à la librairie Vincenti.
F.H.